-a jument blanche, il se la rère, et l'on s't que se "mm an momcat e ¿que ou sa rezavoir un affont on jument, par un saut viureux pass la clef JeVarde, e qui réaom ins ne s'accomplis su qu'il lui sera dur d'avouer, cai Marg est y perdit la eneae est que cet'e triste aventue bien PODES es sons; il presse a monts depero eto Ju il est. Ce tableau de chevalet, sådanrable par le des 1, la la hardiesse et la légereté de tou he, a conta breus resulation de l'ards 2, Cooper; le c»e d' pper Ossory eir fit l'acquisition pour le mettre dans sa c.letion: il attégie • COOPER. TAM O'SHANTER. LE héros de l'inimitable conte de Tam O'Shanter, écrit en dialecte écossais par Burns, est un de ces sans-souci qui, ayant une bouteille et un bon compagnon, oublient volontiers le monde et les peines de la vie. Vrai adorateur de Bacchus, notre Tam saisit toutes les occasions de sacrifier à l'objet de son culte; ses visites chez le meunier, ou chez le maréchal ferrant, et même à l'église, ne sont souvent que des prétextes pour de nouvelles libations. Cependant le grand délice de Tam est le jour de marché; c'est alors qu'après avoir dépêché les affaires du matin, joyeux, il se met au coin d'un bon feu avec son ancien et fidèle camarade de débauche, qui, comme lui, a une soif ardente: là, se réconfortant de bonne bière, tous deux oublient les heures, accompagnant leurs nombreuses libations de leurs chants grivois. Mais enfin à la suite d'une de ces orgies nocturnes pendant un orage épouvantable, les démons et les sorcières aperçoivent Tam, se mettent à le poursuivre. Grâce à la vitesse de Margot, sa jument blanche, il passe la rivière, et l'on sait que, selon les lois de la sorcellerie, il est impossible à la légion infernale de franchir l'eau; aussi notre brave buveur échappat-il pour cette fois. et Le peintre a représenté Tam au moment critique où sa bonne jument, par un saut vigoureux, passe la clef de l'arche; ce qui néanmoins ne s'accomplit pas sans recevoir un affront qu'il lui sera dur d'avouer, car Margot y perdit la queue : il est évident que cette triste aventure a bien remis Tam dans ses sens; il presse sa monture de l'éperon et du fouet d'une manière qui indique fortement sa pleine conviction du danger où il est. Ce tableau de chevalet, si admirable par le dessin spirituel, la hardiesse et la légèreté de touche, augmenta beaucoup la réputation de l'artiste, Cooper; le comte d'Upper Ossory en fit l'acquisition pour le mettre dans sa collection: il a été gravé COOPER. TAM O'SHANTER. THE Hero of Burns's inimitable tale called Tam O'Shanter, is one of the reckless mortals who gladly resign the world and its cares for a foaming bowl, and a jolly companion. Like a true devotee, he seizes every occasion to sacrifice to the object of his idolatry; and his visits to the Miller, the Blacksmith, and even to Kirk, are made subservient to his bacchanalian propensities. Market-day, however, is Tam's chief delight; when, after dispatching the business of the morning, he seats himself with his ancient, trusty, drouthy, crony, at his elbow, beside a blazing fire; and imbibing renewed inspiration from the potent bold John Barleycorn, they drive on the night with songs and clatter, regardless of every thing beyond the passing hour. At length, returning from his revels in the dead of the night, and during a tremendous storm, Tam is surprised and pursued by witches and warlocks; but thanks to the speed of his grey mare Meg, he is enabled to pass a running stream, that according to the laws of witchcraft, the hellish legion dare not cross, and thus escapes. The artist has represented Tam at the critical moment when his good grey mare, by one vigorous spring, and at some corporeal loss, clears the key-stone of the Arch: the serious nature of the adventure has effectually sobered him, and he admonishes his steed, both by heel and hand, in a manner that expresses conviction of his peril. This cabinet picture, so estimable for its spirited drawing, and lightness and freedom of pencilling, considerably increased the well-earned reputation of its painter. It was purchased to adorn the collection of the Earl of Upper Ossory, and has been twice engraved. |